Les robots à surpression
non recommandés par AQUA PENSEZ-VOUS ?
Le plus connu est le Polaris. L’origine de son succès est l’autonomie de ce robot de piscine qui s’allume et s’éteint de façon autonome grâce à une horloge située dans le local technique avec une pompe supplémentaire appelée surpresseur.
Ce dernier va récupérer une partie de l’eau du refoulement pour l’accélérer dans une canalisation en polyéthylène jusqu’à une prise “spéciale” qui, connectée au robot, le fera avancer avec la seule force de l’eau. Pas d’électronique, que de la mécanique, donc des pannes faciles à réparer pour un pisciniste ou par les clients directement.
Cependant, depuis le début des années 2010, le fabricant a baissé la qualité des pièces détachées “facilement réparables” pour en faire très certainement un complément de revenu. Intéressant pour lui, mais ni pour les professionnels de la piscine qui devront réparer des robots sous garantie gratuitement avec de nombreux déplacements onéreux, ni pour vous, utilisateurs, qui constateraient un robot régulièrement en panne et une piscine sale.